Mon petit cadeau de Noël… d’octobre.
Alors voilà : il s’appellera ” Alors Voilà, Les 1001 vies des Urgences“. Il sortira le 9 octobre, aux éditions Fayard.
J’ai bossé dur pour vous offrir un beau livre. Il y aura beaucoup d’histoires inédites. Elles s’articulent autour de celle d’un interne. Il joue des claquettes dans l’hôpital, jonglant entre les différents services avec ses co-internes, les aides-soignants, les médecins et les infirmiers.
Pendant sept jours, il décrit l’hôpital à une patiente en stade terminal. Il lui raconte ce qui se passe sous les blouses blanches et dans les couloirs pour la garder en vie le temps que son fils, bloqué dans un aéroport, puisse la rejoindre.
C’est une histoire de réconciliation : il y a un soignant et une patiente. Ils s’écoutent l’un et l’autre.
Ils parlent.
Bien sûr, j’ai très envie qu’il marche, le bouquin. Parce que c’est mon bébé, que je veux le défendre et parce qu’on écrit pour être lu. Quoi qu’on en dise.
Je vais avoir besoin de vous pour le faire vivre. Pour le nourrir, le faire grandir et s’épanouir entre les mains des lecteurs.
Si j’ai bien ou mal fait le job, ce sera à vous de juger.
Mais je n’aurais pas voulu raconter une autre histoire que celle-ci.
Parce que je crois qu’elle est belle et qu’elle réconcilie avec plein de choses.
Je mets ci-dessous les liens vers les sites permettant de le pré-commander :
Là, pour Fayard (qui vous oriente vers le libraire le plus proche de chez vous…)
Là, pour la FNAC,
Et là, pour Amazon.
Mais ce qui est encore 1 001 fois MIEUX, c’est d’aller le pré-commander chez votre LIBRAIRE.
Comme le panda géant de Chine, le libraire est un animal très rare, souvent à poils longs, on le reconnaît à son rythme nycthéméral qui tourne tout entier autour du livre : il se cultive avec, il vit avec, il mange avec. On renifle même sa trace à la merveilleuse odeur d’encre d’imprimerie fraîche et de pâte à papier qui lui colle à la couenne ! Il vit grâce aux livres. Et, même mieux, il les AIME cent fois plus que M. Amazon ou Mme FNAC.fr.
Les livres sont sacrés et les libraires gardent le temple. J’ai passé mon enfance dans une librairie, assis dans un coin, sous le regard bienveillant d’un libraire qui s’appelait Charles (aucun intérêt pour vous, mais je voulais qu’il soit parmi nous aujourd’hui pour lui rendre hommage…). J’ai grandi parmi ses livres, dans tous les sens du terme. Ils m’ont aidé à tenir ma colonne vertébrale bien rectiligne. Charles avait une barbe qui lui mangeait la moitié du visage, il était féru d’alchimie et plus muet qu’une tombe : il ne m’a jamais dénoncé quand je faisais l’école buissonnière pour aller lire chez lui à l’œil.
Alors je mets AUSSI un magico-site : tu écris où tu vis et ABRACADABRA ! il te dit où sont les libraires les plus proches de chez toi !
La magico-site est là : Pages JAUNES
Et celui-là est plus que génial aussi : http://www.leslibraires.fr/ +++
Je conclurai avec cette sublime phrase des Métamorphoses d’Ovide :
“Tous les défauts que possède ce poème ébauché, je les aurais corrigés, si je l’avais pu. VRAIMENT.”
PS : j’ai ajouté un mot dans la citation précédente. Si tu devines lequel, tu as gagné le droit à un free-hug pendant les dédicaces !
Baptiste B.