Photo ⬆️ : MOI, APRÈS ÊTRE ALLÉ CHERCHER MON CHÈQUE (et les clefs de mon nouveau manoir) AUPRÈS DES LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES EN REMERCIEMENT DE MA VIDEO SUR LES VACCINS…
.
.
Merci pour vos adorables messages d’anniversaire. Je ne sais plus où donner de la tête, donc ne m’en voulez pas si je ne réponds pas (le travail au cabinet me bouffe beaucoup de temps). Pour me faire pardonner, je vous ai écrit une nouvelle (oui, comme l’année dernière. Ça va devenir une tradition !).
Chaque année, le journal Femme actuelle demande à des auteurs d’écrire un court récit estival.
J’arrive après Philippe Delerm, Grégoire Delacourt, David Foenkinos, Nathalie Rheims, Eric-Emmanuel Schmitt, Didier Van Cauwelaert, Catherine Cusset, Marie Darrieussecq, Emilie Frèche, Camille Laurens, Carole Martinez, Véronique Olmi.
Oui, je sais.
Comme disait mon grand-père “Tu tenais un loup entre les oreilles”.
MAIS.
Je l’ai écrite et je suis plutôt content de ma petite “Madeleine“.
(PS : essayons dans les commentaires de ne pas divulgacher l’historiette à ceux qui ne l’auront pas lue !)
Bises (et encore merci pour avoir supporté la mer parfois houleuse qu’était devenue ma page suite à ma vidéo sur les vaccins… Les anti-vax respectueux sont les bienvenus ici, et je n’ai pas plus aimé qu’on leur réponde mal ou qu’on tourne en dérision leurs questions (légitimes) que je n’ai aimé qu’on m’accuse d’être vendu au lobby pharmaceutique… je vous embrasse toutes et tous).
👇🏼
LA NOUVELLE
.
.
.
Photo ⬇️ :
#posay
#faisonslamourbaybay
#medecinsripoux
J’adore ton auto-derision !
Bon anniversaire Baptiste.
On attend maintenant la crémaillère de ta nouvelle demeure 🙂
Bisous bisous
Batiste, dans le corps de Magnum lui-même dans le corps de Dick Rivers, oula ca y est j’ai mal au crâne.
Je vais peut-être faire venir mon médecin ( je vous entend déjà dire ” le trou de la sécu” ” pourrait se bouger elle” etc, etc…) Ben non je suis la femme à roulettes, et je vous lit depuis longtemps Dr Bibi, vous me faites rire, pleurer, réagir et penser qui vivre n’est pas une option mais bien quelque chose de bien.
Bien à vous,
San, le femme à roulettes
Bon anniversaire et bon emménagement dans ton super manoir…
Je m’étouffe de rire!!!
EXCELLENT ! J’ai bien rigolé mais taisons la raison !!! Cela mérite plus qu’un 20/20 Bibi. C’est très bien écrit, bien détaillé et tout et tout. De la graine d’auteur ce Bibi… Ah oui c’est vrai ! Déjà auteur, et quelle auteur ! Je suis sûre que celles et ceux qui lisent Femme Actuelle et qui ne connaissent pas (c’est possible ça ?) notre Bibi National, vont vite rappliquer !!! Encore MERCI (pour ce moment) et un très grand BRAVO !
Oups “…et quel auteur”… Il est vrai qu’au départ, je voulais faire un jeu de mots avec “hauteur” et j’ai corrigé… à moitié (soupirs).
Et bon anniversaire bien sûr et plein de bises et de cadeaux et de bougies et de chocolat… (et de kilos en trop ?). Où avais-je la tête ? Chamboulée par cette nouvelle !
Une petite merveille de plus à ton actif, ciselée, riche de sous-entendus pour amener la ” chute ” ( dans les 2 sens du terme ). Du grand art !
PS – je n’aime pas ton manoir, achète-en un autre !!!!!!
Merci Baptiste pour cette délicieuse Madeleine.
Je comprends le pourquoi de la tête de lion ! Bon anniversaire alors !
En ce qui concerne Madeleine, c’est une très bonne Madeleine… Il y a beaucoup à dire sur le fond…séduction, soumission, …
En tous cas moi je ne suis séduite ni par le manoir, trop lugubre, ni par la Ferrari….. trop basse…
J’ai lu Madeleine ce matin… j’y ai trouvé beaucoup d’Humain… elle m’a bien plu, Madeleine (et la conclusion, bien sûr)…
Pour ce qui est des vaccins, je n’ai pas encore regardé votre vidéo, je compte y aller… je crois qu’en tout, l’important est de garder la mesure et l’esprit ouvert, non ?
On vous espère la fesse lisse et réparée (et si l’on pouvait visiter le château, NuméroTer serait sans doute très intéressé par les épées z’et armures qui trainent sans doute dans les oubliettes…)
J’adore ! Comment on dit déjà en cinéma ? Ah oui : le ” twist “. Le “twist” est magique. Et le développement, superbe.
Merci pour cette gourmandise littéraire !
Coucou Mister B.!
Ca c’est un chouette cadeau d’anniversaire! Enfin…. à condition que les lobbys pharmaceutiques,les ministres soudoyés par ces derniers…payent les frais inhérents à l’entretien!
Sans compter le personnel parce que bonjour le ménage et l’entretien du jardin!;-)
Bref,il va Vous falloir demander une augmentation genre prime de risques!
Je Vous baise la main,cher chatelain!
Desinscription
Madeleine… rien que le roulement du prénom dans la bouche provoque des fantasmes d’amour.
J’ai senti le désir de la chair dans ce concentré de souvenirs.
J’ai senti le charme dans la simplicité du rythme de la rengaine.
J’ai senti l’inattendu dans ces regards subtils.
J’ai senti l’espoir d’une providence dans un dénouement réjouissant.
Je deviens au fil du temps, littéralement jaloux des talents de passion, d’invention, de curiosité, de pertinence, de cohérence et d’écriture merveilleuse, que certains accumulent sans donner l’impression de développer beaucoup d’efforts…
Benoît Jacques, votre jalousie n’a point lieu d’être, votre commentaire est à lui seul un talentueux divertissement qui réunit une belle écriture et de délicieuses pensées !
Baptiste, merci mille fois pour cette madeleine de Proust qui a su réjouir mes papilles… Je me suis vue entre ces deux femmes (plus toute jeune, mais pas complètement ratatinée !), me divertissant en regardant le jeu tragi-comique de ce vieux beau qui caricature à lui seul les meilleurs spécimens du genre… et je pense que, comme Madeleine, je n’aurais pas levé le petit doigt, pire j’aurais levé les deux mains pour applaudir 😉 Heu… là j’exagère, je me serais sans doute simplement levée pour l’achever… Heu… là c’est pour rire aussi, en vrai… je lui aurais lu la madeleine de Baptiste pour le faire patienter en attendant les secours !!!
Bonsoir,
Juste pour dire que j’ai adoré votre nouvelle. Ca m’a rappelé quelques souvenirs déplaisants : faut pas croire que la salacité (pas sûre que ça existe -lol- mais je m’arroge le droit à l’hapax, na !) et la balourdise soient réservées aux belles femmes. il suffit d’avoir une paire de seins et de marcher pour y avoir droit. Et bon anniversaire-en-retard ! (c’est de toutes façons ma spécialité).
Fais attention, on pourrait faire cuire des oeufs sur ton torse.
Belle chute!
Merci Bibi de cette magnifique nouvelle. Comme tous ceux qui vous lisent – régulièrement oou non – j’ai beaucoup aimé. Continuez je vous prie à être ce que vous êtes: un magnifique Etre Humain.
Vous passez également derrière Aurelie valognes qui est, elle aussi, comme vous, une écrivain qui a beaucoup de talent
Très très bonne cette nouvelle, j’ai bien ri. Et tes montages photos sont burlesquement drôles. Bon anniversaire !!
Bon anniversaire, Baptiste !!! Mais… l’usage veut que ce soit celui qui fête son anniversaire qui reçoive des cadeaux ! Merci d’inverser les règles, ta Madeleine est un véritable délice, je me suis régalée.
Bises tropicales (mais moins humides que “l’onde” du même nom qui nous tombe dessus actuellement 😉 )
Merci Baptiste.
Très touchée par votre Madeleine..
Belle chute, dans tous les sens du terme !
Merci pour ce sourire, votre écriture me fait pleurer, rire,sourire , je ne m’en lasse pas.
Sincères amitiés et bises de la mamie de Nice ” Le petit prince “
Je suis en colère alors je profite de ce blog qui est censé réconcilier les soignants et les soignés, et où beaucoup d’intervenants sont des soignants.
J’ai la maladie de Lyme. 6 ans d’errance médicale et le rejet, le manque d’écoute de la plupart des médecins, généralistes, spécialistes, voire amis, que j’ai vus. Le diagnostique je l’ai fait moi-même 3 ans après mes premiers symptômes mais même avec un test positif sur 4 (les autres étant négatifs ???) et mes questions sur cette maladie, personne ne voulait en entendre parler. J’étais hypocondriaque, dépressive, emm….euse..
Bref c’est une association de malades qui m’a donnée les coordonnées d’un des rares médecins en France qui soignent et croient à la maladie de Lyme chronique.
Hier m’a soeur m’a téléphonée, perdue, désespérée. Depuis un an elle souffre de différents maux et de nombreux faits concordants m’ont fait penser à Lyme. Son état s’aggrave de jour en jour, elle est très très fatiguée en plus de douleurs diverses. Le test Elisa est revenu négatif mais c’est un test peu fiable. Sa généraliste l’a envoyée à Purpan à Toulouse, en infectiologie et on l’a pratiquement jetée. Elle a parlé de mon cas et on lui a dit que tout cela c’était du pipo, que Lyme chronique n’existait pas, etc…
Alors j’aimerais qu’un maximum de monde regarde ce reportage fait en 2014 qui en dit long sur l’omerta, l’incompétence, le manque de formation, d’écoute du système, de l’Etat, du corps médical..
Ce reportage date de 2014. Nous sommes en août 2017, rien n’a changé, ou presque… et pendant ce temps là les malades souffrent, se suicident – et oui !! – font la grève de la faim, manifestent, portent plainte contre les labos. Et que font les institutions : on poursuit les médecins qui soignent, un naturopathe qui a tenté de soigner avec des huiles essentielles (interdites depuis : le tic-tox mais en vente en Allemagne et Suisse), ..
Alors s’il vous plaît, regardez, écoutez, et diffusez… Vous avez surement autour de vous des gens qui souffrent de fibromyalgie, de neuropathies, de sclérose en plaque, de lupus, de polyarthrite rhumatoide.. peut être ont-ils simplement la maladie de Lyme ou une co-infection et que des antibiotiques pourraient leur soulager la vie…
Prenez soin de vous et de vos proches
https://www.youtube.com/watch?v=2V5g17Optf0&sns=em
PS : pardon Baptiste mais votre blog est fait pour ça, non ?
Marie-Noëlle, de tout cœur avec toi. Pour ma part Algoneurodystrophie, oui – non – peut-être selon les médecins et spécialistes de tout poil. De plus en plus ces ” grands ” messieurs restent confortablement installés dans leurs certitudes et nous laissent galérer.
Courage à toi et à ta sœur, continuez votre combat.
Bisous bisous
Merci Pilou
@Marie-Noëlle. Post rempli de douleur et je le comprends; sans pour autant pouvoir avoir de compassion . Comment dire que je me mets à votre place sans m’abuser ou jouer à l’hypocrite.
Je veux dire deux mots (les habitué-e-s ricanent déjà) sur votre texte. Premièrement, je ne suis pas soignant et il ne me semble pas que ce blog soit un club de soignants à la mode salon de thé anglais. Deuxièmement, je crains que votre sensibilité au milieu médical vous pousse à avoir sur celui ci un avis de plus en plus caricatural. Normal. Vous traînez une maladie qui vous dévore la vie et occupe trop de place. Il est naturel de chercher quelqu’un, une solution, un ‘plan’ pour vous soulager. Question : comment abordez-vous les médecins ? Comme quelqu’un qui veut faire valoir à tout prix son droit à la prise en charge ou bien comme quelqu’un qui est au bout du rouleau et veut se débarrasser de son fardeau ? Non, ce n’est ‘finalement’ pas pareil.
Je veux dire que, pour moi, vous soulevez un problème de relations humaines très intéressant. Non seulement la nature du contact entre quelqu’un qui a besoin d’aide et quelqu’un qui peut lui procurer; une relation “t’es obligé de me soigner ou t’es un moins que rien” mais le vis-à-vis de quelqu’un qui est dans un état provisoire non voulu contraignant -vous, le malade, la patiente… – un amateur, vu de la pathologie, et une personne qui, au contraire, a voulu devenir ce qu’il est en étudiant longuement et fortement. Un médecin. Un pro. Qui a tout fait pour.
A quoi voit-on çà ? Si on observe bien, on voit, on sait, que le Pro doute. Parce qu’incessament, il doit faire des choix. Et que les choix sont toujours des compromis. Choix d’un diagnostique, d’un traitement, d’une voie thérapeutique, gestion des personnels et des places… La patiente, elle, dit ses propriétés : ses maladies, ses symptomes de tous les jours, ses handicaps. Comme si c’étaient des diplomes, des passe-droits, des bons à traiter, ses résultats d’analyses des visas pour faire… Et vous dites, à partir ce ce point de vue, que le blog “est fait pour çà, non?”.
Je ne sais pas vous dire ce que doit être ou non ce Pro et cette Patiente dans leurs rapports tels que je les ai normalisés un instant. Je n’ai aucune qualité pour se faire. J’ai juste le sentiment que l’essentiel est de redevenir soi-même dans ce vis-à-vis. L’image serait deux personnes qui se mettraient en combinaison juste-au-corps pour se rencontrer. Humbles et dignes. Chacun ayant un but commun : identifier et détruire l’alien que constitue la maladie. Je jamais employer de pré-supposés. Vous savez, ce mécanisme qui prétend : “si je lui dit çà, il va penser que” etc… gnagnagna… Mais plutôt bonjour-au revoir. Et merci quand c’est fini. Faire de la maladie un troisième larron qu’il faut tuer ensemble. Beau polar, belle tv-réalité, n’est-ce pas?
Voilà. C’est tout pour aujourd’hui.
Que Mieux vous poursuive et vos maux s’éloignent en grognant;
Cher Hervé,
Le monde médical je le connais. Mes amis sont médecins, pharmaciens, infirmières. J’ai eu un cancer. Je sais que tous ne se valent pas, puisqu’ils sont d’abord humains, donc tous différents.
J’ai rencontré des médecins, des infirmières formidables et avec qui j’ai parfois noué des liens ou pour qui j’ai une immense reconnaissance. Mais ce qui se passe autour de la maladie de Lyme, le déni organisé ?? de l’épidémie, de la chronicité, de l’inefficacité des tests, le scandale sanitaire que cela représente, ça, ça dépasse les bornes. Je suis révoltée. Il ne s’agit pas de savoir quelle relation j’ai avec les médecins mais de la façon dont l’Etat, la Sécurité Sociale, bref les institutions et une majorité du corps médical considèrent les malades. Il serait trop long (et ennuyeux) de vous raconter mon histoire mais si je ne m’étais pas battue, obstinée, si je n’avais pas fait des recherches sur internet, si je n’avais pas lu les livres écrits par des experts, Dr Horowitz, Professeur Peronne, Montagnier.. lu et vu des témoignages, je serais peut être en hopital psychiatrique et/ou dans un fauteuil roulant…
J’abordais les médecins avec confiance. Pour moi un médecin c’était quelqu’un qui savait mieux que moi. J’ai toujours écouté ce qu’il me disait, je posais des questions quand je ne comprenais pas ou voulais plus d’explication. Jusqu’au moment où je me suis retrouvée très mal en point, que personne ne cherchait à savoir ce que j’avais, ou me traitais d’hypocondriaque. Moi je savais que j’avais quelque chose. Et je ne crois pas du tout que tous les pros doutent, comme vous le dites. Moi j’en ai rencontré plus d’un qui n’avait que des certitudes. Je dis que « ce blog est fait pour ça « parce que Baptiste a écrit quelque part qu’il voulait réconcilier les soignants et les soignés par le biais de ce blog et de facebook.
Je pense que je suis quelqu’un d’honnête, intellectuellement parlant, et sincère. J’ai remercié un médecin qui était le seul à m’écouter, et j’ai dit leur quatre vérités à deux autres qui même avec deux tests positifs ont nié ma maladie parce qu’une autre fois, le test avait été négatif. Je ne comprends même pas qu’ils n’aient pas trouvé ça bizarre et que le doute ne les a même pas effleuré..
Et oui j’ai perdu la confiance dans les médecins, pas tous, non bien sûr, mais maintenant j’essaye de les choisir, et je ne crois pas d’emblée tout ce qu’ils me disent. Je sais qu’ils sont faillibles, voire pire, et que ma santé dépend autant d’eux que de moi. Avant je me reposais sur leur savoir. Ce que je reproche à la plupart de ceux que j’ai rencontré c’est une certaine désinvolture, l’un d’eux m’a dit “c’est moi le médecin” ! sous-entendu toi tu ne sais rien. Un malade est-il forcément un abruti ??
Ce que j’attends d’un médecin c’est qu’il reconnaisse ses limites, qu’il dise «je ne sais pas », « je vais vous envoyer voir un confrère », mais même ça, la plupart ne le font pas. J’en ai rencontré 2 sur une dizaine qui m’ont proposée quelque chose. Un ami généraliste à qui j’ai raconté tout cela m’a dit « on ne peut pas te laisser comme ça dans la nature ! » . Non, on ne peut pas laisser les gens comme ça avec leur souffrance quand on est médecin ou leur donner des antidépresseurs. Je sais que les diagnostiques ne sont pas faciles à faire. On m’aurait dit « c’est compliqué ma pt’ite dame ! » je l’aurais entendu, accepté. Mais « circulez, ya rien à voir »… non.. Surtout maintenant que je sais qu’il y a des années que des lanceurs d’alerte s’expriment, expliquent.. et disent qu’il y a des solutions, que ça devient urgent de bouger … et que rien ne bouge…
Oui je suis en colère, pas pour moi, maintenant je suis suivie, mais pour les autres qui attendent un diagnostique, et qui souffrent, et qu’on n’écoutent pas.. alors qu’il suffit dans un premier temps de faire d’autres tests que celui autorisé par les institutions et qui s’est révélé non fiable. Les chiens sont mieux dépistés que les humains pour la maladie de Lyme.
Impressionnante colère, Marie-Noëlle. Merci. Oui, merci pour ce trait de vie. Sur le fond, j’espère qu’un soignant prendra le temps d’expliquer ce qu’il en est de la maladie de Lyme,. Et de la considération médicale en général et en particulier.
En ce qui me concerne, je continue à penser que le discernement doit nous guider. Tout le corps médical ne fait pas bloc; toute la population des patients n’est pas uniformément ignorée. Nous en sommes surs tous les deux. Il me semble que les autres personnes pourraient agir comme vous l’avez fait en trouvant un chemin thérapeutique parallèle. Le faire savoir est notre devoir. Et c’est bien pour çà que votre colère est salutaire. Merci à vous.
Voila sans doute pourquoi on ne soigne pas les malades de Lyme
http://www.20minutes.fr/sante/2110387-20170727-maladie-lyme-bientot-vaccin-contre-pathologie-transmise-tiques
En 1996, hier donc …un neurologue jeune et génial en qui j’ai eu immédiatement confiance (il avait un géant poster des pinck floyd dans son bureau, et ça c’est pas rien) regardait les resultats de la ponction lombaire et les images de l’irm…vous avez une SEP ET une Lyme …1996.
Dans une région où les tiques pullulent , il gardait ça dans son tableau de diagnose et le radiologue de L’Union de me dire au sortir de l’irm ” avant cette nouvelle possibilité d’imagerie vos symptômes auraient été diagnostiqués “spasmophilie”.” 1996
Depuis ça va très bien et mes thérapeutes …tous…8 à ce jour dont 3 neuro m’ont dit ” les vaccins on oublie dans votre cas” .
Je suis tombée sur des Sages et je suis effarée par votre histoire et ce lien vers …un vaccin …au Canada ils sont très au point pour Lyme en dépistage et traitement.
Énergies soleil paillettes bises Marie-No
Merci Marie pour vos bises, énergies, paillettes et soleil !
Personne n’a fait le lien entre la SEP et Lyme ?? (neuroborréliose c’est Lyme version neurologique) . Vous devriez poser la question ..
Bises à vous
bonjour Marie Noelle
J’habite l’Alsace, première région infestée par Lyme, ici tout le monde a quelqu’un de sa famille, dans ses proches ayant galéré comme vous. Je connais des gens arrêtés depuis des années, des gens souffrant le martyr, d’autres paralysés, jusqu’au jour où ils trouvent un médecin qui connaisse cette maladie, qui sache la traiter. En général, ils se sont formés en Allemagne ou en Suisse, la France ayant un énorme retard dans la prise en charge de cette maladie. Encore une fois, la faute aux labos, (les tests français ne dépistent pas toutes les formes, interdiction formelle d’utiliser les tests allemands !) et aux médecins qui se satisfont de que ce qu’on leur apprend (très peu, sur ce sujet), encadré par les lois françaises. Toujours ce principe : ce que je ne connais pas n’existe pas …
Tiens, ça me rappelle l’épineux sujet soulevé récemment par Bibi, confondant le sujet “principe de vaccination” et le sujet “les vaccins aujourd’hui”. Mais, dit il “les labos, ça ne l’interesse pas”. Il a tort. Fin de la parenthèse…
Bref, Marie Noelle, sachez qu’il y a ici quelques médecins qui peuvent vous aider, vraiment, (des patients affluent de toute la France) tapez Lyme Alsace, médecin Schirrhein. Certains médecins ne veulent pas être nommés, ils subissent une chasse aux sorcière de la part de la sécu car utilisent des protocoles allemands, alors leur noms circulent sous le manteau, d’autres ont carrément quitté l’ordre des médecins pour soigner paisiblement, de toute façon c’est une hécatombe ici, les patients ne manquent pas. Sachez que vous pouvez aussi vous faire soigner directement en Allemagne avec votre carte d’assurée sociale européenne (gratuite).
Bon courage à vous, rapprochez vous aussi d’associations de malades, certaines sont très actives ! ici, nous avons même des “cafés-Lyme”, c’est vous dire !
Bonjour Mimou,
Merci pour vos conseils mais je connais déjà tout ça.. Je suis membre de deux associations. C’est l’une d’elle qui m’a donnée les coordonnées d’un médecin dans ma région. Ils sont une centaine dans toute la France. J’habite en Auvergne, une région aussi très concernée.
Il n’y a pas que les labos qui sont en cause. L’Etat a sa part de responsabilité, la Ministre de la Santé (actuelle et précédente), la Sécurité Sociale, l’Ordre des Médecins.. Ils ne font rien, ou quand ils font, c’est orienté.
Je m’explique : Marisol Touraine, sous la pression des associations, la menace d’un procès de 200 patients contre les labos, a lancé un programme anti-lyme avec l’ouverture de centres régionaux spécialisés. Le premier est à Strasbourg, et, devinez… le médecin responsable est un anti-lyme chronique… !!!
Je précise que les médecins qui, éventuellement, envisage la maladie de Lyme comme diagnostique, ne recherchent pas, en général, les co-infections. En effet, les tiques ne se contentent pas d’inoculer la borrelia (pour la maladie de Lyme) mais peuvent aussi inoculer d’autres bactéries, virus ou champignons à l’origine d’autres maladies comme la babesiose, les rickettioses, erlichioses, les encéphalites, etc..
C’est le docteur qui me suit maintenant qui m’a fait faire des tests pour Lyme et co-infections dans un laboratoire spécialisé à Nice et c’est ainsi que j’ai découvert qu’en plus de Lyme j’avais une babesiose. Bien sur ces tests ne sont pas remboursés par la Sécu. En un an j’ai dépensé environ 1000€ de ma poche en tests, Dr homéopathe, médecines naturelles, compléments alimentaires, train pour aller voir le dr, nourriture bio, etc..
Je connais aussi les café-lyme mais dans ma région celui qui existe est trop loin de chez moi (60kms) pour y aller. Ma santé ne me le permet pas.
Honnêtement je pense que je connais mieux Lyme et les co-infections que les 3/4 des soignants de France. Ca ne veut pas dire que c’est de leur faute, c’est juste qu’on fait tout pour qu’ils ne sachent rien : peu ou pas de formation, chasse aux médecins qui donnent des antibiotiques sur de longues durées, et sans doute des conflits d’intérêts qui bénéficient aux labos et leurs actionnaires…
Aux médecins de montrer qu’ils sont intelligents, humains, pas bornés, pas intéressés (financièrement) et de soutenir les malades. Pour l’instant il n’y en a qu’une poignée (une centaine) qui ont signé un appel d’urgence en 2016 à la Ministre de la Santé.. Peut mieux faire… !!
Très belle nouvelle!
Les retours des gens sur cette vidéo sont apparemment douloureux, même si la réponse est faite avec humour, et j’ai du mal à comprendre que ce le soit tant. Parce que j’ai la chance de ne pas être un personnage public et de ne pas subir ce genre d’attaque, très certainement. Et ça me rend encore plus dubitative devant l’engouement de tous ces candidats à la célébrité qui peuplent nos téléviseurs : ont-ils la moindre idée de ce qui les attend?
Bref, ce n’est pas vraiment le sujet, et j’espère que vous allez bien, vos fesses et vous. 🙂
Tu es exceptionnel ! j’apprécie sincèrement ton écriture, Alors voilà, merci.
J’ai pas lu Madeleine parce que les liens ne fonctionnent pas chez moi, et si je fais une recherche femmes actuelles et madeleine, je tombe sur la recette des madeleines…. c’est injuste. !
Mais j’aime bien le manoir : j’en ferais bien mes beaux dimanches et j’ajouterais des géraniums aux fenêtres et des roses partout. 😉 sans oublier le personnel pour laver les carreaux et passer l’aspirateur…
Et voilà, suffit de demander 😉 “Madeleine” par Baptiste Beaulieu
Comment s’était-elle retrouvée à tremper dans cette boue crémeuse, parmi les corps anonymes, ces corps endoloris ? Madeleine n’avait aucune envie de cette cure, mais une amie de son mari avait lourdement insisté : « C’est la plus belle station thermale de France, on en sort avec dix ans de moins, je t’assure ! »
Madeleine passe et repasse ses mains sur la surface nacrée, ça fleure le soufre, les huiles essentielles, le lait. Ses doigts, l’arthrose, le travail et le temps les ont tordus. Son corps, il infuse à coté de celui, plus jeune, plus ferme, de cette amie-là, celle de son mari. Pas un mot entre elles, quelques sourires de temps en temps. L’austérité des lieux appelle à une certaine retenue. Ici, le décor se donne des airs de drame antique : carton-pâte et concerto, feuilles d’acanthe, chœur et masques moulés aux murs.
Soudain, à, l’entrée des bains, un homme s’avance.
La vieille dame le détaille, soupèse chaque atome de virilité en lui.
Il a les cuisses épaisses, musculeuses, qui convoquent aussitôt dans la tête de Madeleine une image lointaine. Madeleine avait seize ans, elle avait décidé de mettre des collants sous un short, papa et oncle Bruno devisaient au salon, elle descendait les marches quatre à quatre pour rejoindre une copine en ville quand son père l’avait appelée : « Viens saluer ton oncle ! » Bonne fille, elle était allée embrasser Bruno, Bruno qui l’avait toisée de haut en bas : « Eh ben, celle-là, vu comment elle s’habille pour sortir, faudra pas te plaindre quand elle rentrera à la maison en cloque, hein ! »
La vieille dame regarde les cuisses de l’homme du bain. Elle se souvient du silence mou de son père. Oh ! Quelle brûlure cuisante que la trahison d’un père ! Son oncle avait conclu en époussetant les cendres du cigare tombées sur son pantalon, et sur ses grosses cuisses de gros bonhomme.
Madeleine s’était promis de ne plus jamais se laisser faire.
L’homme du bain pose sa serviette sur un banc en bois, s’étire.
Il a le regard droit, fier, le poitrail dressé. Il plastronne. Il a dans les yeux ce je-ne-sais-quoi du boxeur concentré, qui rappelle à la vieille dame cette fois-là avec Marc, son premier amour. C’était un jeudi, elle l’avait retrouvé dans un bar, s’était jetée dans ses bras, en larmes : un sale type dans la rue, au volant d’un trente-six tonnes, avait ralenti à hauteur de Madeleine en train de marcher sur le trottoir, puis il l’avait traitée de mots trop horribles pour être répétés. Madeleine avait eu peur. Elle avait eu peur et Marc n’avait pas su comment réagir. D’ailleurs, elle se souvient encore de la mine étonnée de son petit copain : « Mais tu n’étais pas habillée de façon provocante, pourtant ! »
Madeleine s’était promis de ne plus jamais se laisser faire. Puis elle avait quitté Marc.
L’homme du bain a les cheveux blancs. Il porte beau, encore, et il le sait. Quand Madeleine avait accouché de son premier garçon, le gynécologue avait la même coupe de cheveux, celle des vieux séducteurs, ces types gorgés d’UV, enfermés dans la mémoire d’une époque pour toujours estivale, quand les filles tombaient facilement. Le gynécologue avait pesté : « Faut pousser, madame, hein, faites un effort ! Et me regardez pas méchamment comme ça, vous étiez bien contente quand monsieur l’a mis là, ce gosse, hein ?! »
Le mari de Madeleine avait baissé les yeux, embarrassé. Madeleine s’était promis de ne plus jamais se laisser faire. Puis, lors de sa deuxième grossesse, elle avait opté pour une gynécologue, tout en regrettant d’avoir repris Marc, quelques années plus tôt, d’avoir repris, ré-aimé, et épousé Marc, d’avoir conçu deux enfants avec lui, et d’avoir cru si longtemps qu’il serait capable d’être autre chose qu’un beau gosse un peu froussard.
L’homme du bain s’approche du bassin. La mâchoire carrée, la fossette au menton, voilà deux détails qui percutent Madeleine. Ses deux fils ont le même genre d’ossature solide, volontaire, mâle. Quand Louis, le plus grand fils de Madeleine, a eu quinze ans, une femme a téléphoné à Madeleine : elle voulait la rencontrer, parler d’un sujet délicat, à propos de Louis. Les voilà qui se retrouvent dans un café : la femme s’appelle Christine, elle est gênée de parler de ça, mais elle est sûre qu’entre mères elles se comprendront mieux, puis… de toute façon, il faut agir : depuis quelques semaines, Louis et ses camarades boutonneux jouent à envoyer des photos à des mères de famille du collège. Des photos ? Mais quel type de photos ? Christine, mal à l’aise, sort de son sac plusieurs polaroïds. Madeleine manque de s’étouffer. Quand Louis rentre du collège, sa mère a substitué aux portraits de famille du salon les clichés envoyés par son fils. « Puisque tu aimes tant que cela la montrer, autant en faire profiter tout le monde », lança-t-elle, écarlate de colère, à Louis, interdit, les bras ballants, et l’air débile d’avoir été pris.
Quand Marc rentrera, que Madeleine lui racontera l’affaire, Marc aura pour seule sentence : « Allons, il est jeune, faut bien que jeunesse se passe ! » Pire, Marc rira en disant cela.
L’homme du bain met un pied dans la boue, la trouve froide, hésite à entrer. Grand, mince, dur, les épaules musclées, le ventre plat, l’homme ne voit personne.
L’amie de Madeleine se tourne vers elle, sourit. Éclat perlé des dents. Elle a posé, mutine, un peu crâneuse, un doigt de kaolin sur son nez et adressé à sa vieille amie comme un clin d’œil complice. Puis elle sinue vers la sortie, sans prendre appui, le visage à fleur de lait. Madeleine voit l’homme regarder discrètement son amie. Madeleine n’aime pas cela, elle est tellement lasse de ces regards, oui, ces regards des hommes sur les femmes… Son amie, avec une lenteur calculée, émerge, ondoyante, hanche souple, reins cambrés, jambes fuselées, pieds nacrés, parfaite. L’homme du bain s’est immobilisé, le temps de continuer à mater, par-dessous, à la dérobée. L’air de rien, de pas y toucher. Madeleine sent la colère monter en elle. Son amie est à la douche, l’eau balaie les traces pâles de kaolin, révèle la soie ambrée d’une peau ferme, intacte. Elle ploie légèrement le cou, étire un bras, glisse une main sur sa gorge. Enfin, elle libère du bonnet une chevelure piquée de touches argentées qui se déploie en boucles vives sur ses épaules et…
Soudain, la magie s’évanouit. Quelqu’un a crié. L’homme du bain, tout à sa contemplation, a raté une marche et a glissé. On dit qu’il est tombé sur la hanche. D’ailleurs, tous et toutes ont entendu l’horrible CRAC d’un fémur rompu. Affolée, l’amie de Madeleine se précipite vers l’homme qui hurle de douleur, elle essaie de le redresser, il pleure, cela fait tellement mal, la jeune femme lève les yeux, voit Madeleine, Madeleine impassible, Madeleine qui ne bouge pas, Madeleine qui sourirait même, peut-être. Oui, Madeleine jubile : elle ne sait pas trop quoi, mais quelque chose vient de lui être rendu.
Son amie crie : qu’on aille chercher quelqu’un, qu’on prévienne les pompiers, quelqu’un, n’importe qui ! Puis elle se tourne vers le bain, la figure sanguine, s’époumonant : « M’enfin, Madeleine, qu’est-ce que tu fiches ? Viens m’aider ! C’est ton mari quand même!”
© Mazarine/Librairie Arthème Fayard, 2017.
Aaaah, merci Myriam FdeF.
Effectivement, sacrée chute. Et franchement jubilatoire.
quel cadeau pourrais-je te faire ???
mmmmmmmmmmmmoui !! j’ai trouvé !!!! :
2 magnifiques chiffonnettes en peau de ZZZZZZZZZZZZZébu (tordu, va ! 🙂 )
une rouge pour ta wature, et une grise pour les TAS de commodes qui doivent pulluler dans ton mas blanc … heuuuu … manoir !
(tu trouves pas que ton manoir ressemble furieusement à un château ? )
bizouilles !
co
ps : j’aime pô ta nouvelle coupe par contre
J’ai adoré !!!Excellent …………………On y est dans ce bain avec les personnages ;Bravo ……
Quand nous invites-tu tous dans ton manoir pour essayer ta bagnole?
Quelle nouvelle ! Un régal ! J’ai pris beaucoup de plaisir à la lire et la chute …..Je l’ai même re-lue !
Hummmm tout est bon!!! les photos sont excellentes… et la nouvelle parfaite!
et Bon anniversaire!!
Cher Baptiste, j’aime bien trop vos écrits pour laisser passer cette faute : ne m’en veuillez pas (et non ne m’en voulez pas)… Belle journée à vous et merci et bravo pour ce que vous faites
Emmanuelle Cossu, ne m’en voulez surtout pas, mais sur ce point vous avez tort, la langue française nous laisse le choix, simplement “ne m’en veuillez pas” est plus souvent employé… Vous constaterez d’ailleurs qu’au singulier vous direz plus facilement “ne m’en veux pas”!…
Ne m en veuillez pas Florence de revenir sur vos propos mais il sembleraot que dans le cas present il s agisse bien d une erreur.
Voulez ne s utilise que tres tres rarement a l imperatif et uniquement avec le sens d un effort a fournir. “Enfin, mon conseil permanent est celui-ci : voulez !” G. Flaubert dans Lettre a Mademoiselle de Chantepie
Je ne pense pas que Baptiste l ait ecrit dans ce sens
Marie Noëlle, le débat est ardu mais intéressant ! L’Académie Française, dans le cas de “ne m’en voulez pas”, parle plus de ferme volonté que d’effort à fournir 😉 et je trouve que finalement dans le cas présent, cela correspond bien à notre auteur de Madeleine ! Pour conclure je propose une formule qui mettra tout le monde d’accord : ne m’en tenez pas rigueur !
Vous m’amusez toutes les deux, ne croyez-vous pas qu’il y a des choses plus importantes à débattre que ce genre de billevesées.
Au fait, est-ce que ce terme vous semble approprié ????? et bien orthographié ??????
En toute amitié, et bises
Certes tout ceci n’est que frivolité mais je suis incapable de sérieux en période estivale 🙂
Par ailleurs je suis en train de voyager et ces joutes verbales sans conséquence occupent mon trajet de façon très agréable… Mais vous avez raison, faisons fi de toutes ces billevesées !
Mais quel magnifique manoir ! Il y a beaucoup de place, tu nous invite ? 😉
Très sympa la nouvelle, j’ai bien cette Madeleine. L’histoire de tes personnages provoque toujours des émotions.
Et un très bon anniversaire en retard: joyeux jour de ta naissance !!!
Bonjour Baptiste,
Je te donne un conseil de rentier : Moi je demande aux labos un virement directement sur un compte off- shore 2 fois/ an en fonction de mes prescriptions “non substituables” et des dépassements d’honoraires ( 150 % maxi, faut pas abuser quand même) via l’Île de Man, Singapour, les Seychelles puis Bahamas enfin et mon manoir est à Moustique, discrète ile des caraïbes a cote de la villa de Charles de Galles et Camilla. J’ai aussi un pied à terre en Floride à Key West, près de chez Bernie Madoff mais il a été maladroit lui tout comme le couple Balkany (très vivants ! ils savent bien recevoir et ils ont plein de bons tuyaux …)
Je pense prendre un loft à Cuba, tu connais ? En hiver , j’ai aussi un chalet en Alberta , j’y fais de l’ héli-ski,
A 50 ans, on a enfin la belle vie. patiente un peu, ça va venir pour toi.
En France, fais gaffe à ne pas aller trop souvent au Golf, les patients jasent… et roule en Twingo modèle 2007 c’est + discret pour le fisc.
sinon, demande un voyage de 3 semaines en Harley aux USA si t’as la permis moto ou bien un séminaire “gestion du cabinet” au Maldives, tous frais payés : tu donnes rien, tu paies rien, pas de factures, rien ! Mais tu te remplis la panse… oh là là ! Allez, à la prochaine croisière Majectic, à la Jamaïque, cette fois-ci.
Bien à toi. Castor
Un peu à la bourre mais pas toujours:)
Un très joli jour je vous souhaite
Qu’il soit comme tous les autres de celui que l’on fête
Un peu plus encore et toujours en accord.
Une délicieuse Madeleine comme je les aime
Avec le temps…; n’en déplaise à Monsieur Jacques; tout ne s’en va pas…
Avec de la patience, il apaise:)
Votre Madeleine : dorée, craquante aux bords et fondante à l’intérieur
Une de celle qui aurait certainement plu à Monsieur Marcel:)
Marielle.
Vous avez franchement bronzé depuis le Festival Causette et vos cheveux ont bien poussé en quelques semaines…Je vous ai tout de suite reconnu grâce aux chaussures! Bises. Sinon, ne changez rien, restez le même quoique…vous avez une grosse marge de progression à faire avec les montages photos! J’dis ça, j’dis rien.
Très chouette la nouvelle. Il me semble juste, à moi qui ne suis pas si vieille que ça, qu’il y a un petit anachronisme : la tenue collant + short et les doigts déformés par l’arthrose (ou alors, elle n’a vraiment pas de chance la pôvre dame). La tenue collant + short ni dans les années 60 (ce qui lui ferait 73 ans maxi), ni dans les années 70 ce qui lui ferait… mon âge), une mini-jupe plutôt.